Sans titre (1987)
| Année | Technique(s) | Dimensions |
| 1987 | Eau-forte | 50 x 65 cm |
Don de Philippe Piguet.
Vladimír Škoda est né en 1942 à Prague (République tchèque). Il vit et travaille à Paris.
Vladimír Škoda est né en 1942 à Prague (République tchèque). Il vit et travaille à Paris.
Après l’apprentissage du travail du métal à l’École technique de Slaný, puis à Prague, Vladimir Skoda vient en France en
1968, où il se forme à l’Ecole des beaux-arts de Grenoble et à celle de Paris. Pendant toute cette période de formation, il est aussi intéressé par la théorie que par la pratique, par les sciences et techniques. Pensionnaire à la Villa Médicis, à Rome, entre 1973 et 1975, il sculpte des formes géométriques, inspirées par les mathématiques. A partir de 1979, Vladimir Skoda travaille en particulier la sphère, sa géométrie parfaite ou contrariée, son polissage ou ses aspérités, son aspect réfléchissant ou mat. Parallèlement à ce travail sculptural, ses activités de dessinateur et de graveur éclairent cette fascination pour l’espace, les phénomènes optiques et astronomiques.
1968, où il se forme à l’Ecole des beaux-arts de Grenoble et à celle de Paris. Pendant toute cette période de formation, il est aussi intéressé par la théorie que par la pratique, par les sciences et techniques. Pensionnaire à la Villa Médicis, à Rome, entre 1973 et 1975, il sculpte des formes géométriques, inspirées par les mathématiques. A partir de 1979, Vladimir Skoda travaille en particulier la sphère, sa géométrie parfaite ou contrariée, son polissage ou ses aspérités, son aspect réfléchissant ou mat. Parallèlement à ce travail sculptural, ses activités de dessinateur et de graveur éclairent cette fascination pour l’espace, les phénomènes optiques et astronomiques.
L'œuvre de Vladimír Škoda aborde le cosmos et les lois de l'Univers.
En 2022, Philippe Piguet fait don à l’artothèque de Thonon de l’une de ses œuvres, Sans titre, (1987). Il s’agit d’une eau-forte.
L’eau-forte est un procédé de gravure en taille-douce sur une plaque métallique à l’aide d’un acide : sur une plaque de métal préalablement recouverte d’un vernis à graver, l’artiste dessine son motif à la pointe métallique. La plaque est ensuite placée dans un bain d’acide qui « mord » les zones à découvert et laisse intactes les parties protégées. Après nettoyage du vernis, la plaque est encrée et mise sous presse.